site ouvert le 11 aout 2000
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Le Site du Vieux Rhône.
Dois je résumer dans quel contexte je "travaille"?
Au début je croyais un peu naïvement que localement on
soutiendrait ma démarche offiçiellement... Non! c'est tout
le contraire. Je fais ça tout seul dans mon coin, si ça
m'enchante, "on n'a pas besoin, et on n'a rien à voir avec vous"...
Je ne suis pas étudiant; je suis tout seul, je n'ai pas une
situation sociale élevée... Je suis un riverain...
J'ai tenté d'obtenir des renseignements, j'en ai eu quelque
uns, au début, mais la plupart des études et documents me
sont refusés, car je suis un particulier qui "se mêle de ce
qui ne le regarde pas", et qui "fait du forcing", bref, pour résumer
les "ragôts" qui passent par derrière ma personne, que j'entend
par personnes interposées, jamais directement...
Cercle vicieux: ma curiosité me permet quand même de douter
de certaines choses par personnes interposées: un pêcheur
qui est au courant, des ouvriers qui passent par là... Alors je
fais la aussi "du forçing".
Obtenir des renseignements par la voie normale? on ne me jette pas
franchement, on me passe une personne qui n'est pas là, on me dirige
vers d'autres services qui marchent jamais ou ne sont pas réellement
concernés, donc incompétents dans le domaine, où alors
ça ne répond pas...
Je ne cite pas les personnes ni les organismes, les concernés se recconnaitront.
Cette situation doit elle mettre en colère?
D'avoir vu un groupe d'étudiants obtenir en 4 jours, sans barrières, des réponses ce que je n'avais jamais pu obtenir en 2 ans (rendez vous, documents, aides...) m'a convaincu.
Un riverain ordinaire aurait donc abandonné bien plus tôt
ses investigations, compris à temps que il commençait à
forçer les choses, et cessé de regarder ce qui ne le regarde
pas.
Mais j'aime trop le Rhône pour me laisser décourager ainsi,
Je considère donc les paramètres qui me sont donné
d'observer: on ne me cachera jamais l'eau qui passe.
J'ai toujours l'espoir que ces pages seront lu par une personne influente,
ou inspirer des études plus poussées dans le coin de la part
d'organismes ou d'autres personnes... Sans que ça fasse des histoires.
Réflechissons
Pourquoi une chose pareille? Je suppose:
La vérité c'est que on n'a pas de temps à perdre
pour renseigner un particulier...
En effet une simple recherche d'archive nécessitte un temps
de travail supplémentaire à des personnes débordées...
plus le dérangement du téléphone.
Je pense en particulier à une personne qui à travaillé
très dur pour le vieux rhône, passe enormément d'énergie
à trouver des financements, fait le travail de plusieurs autres
à la fois, avec des grosses difficultées due à la
cordination des procédures administratrives très lourdes...
Mes rapport avec cette personne, d'abords bons se sont dégradés
au point qu'elle m'a exlue d'un rendez vous avec un groupe d'étudiants
venus de Toulouse étudier le rhône, avec elle mais aussi elle
leur à conseillé d'éviter de me présenter à
d'autres acteurs de l'économie ou l'écologie du fleuve. Je
cherche à comprendre. Peut être doit elle user de patiente
et de diplomatie pour cordonner les différents acteurs et que moi
avec mes grand pieds je viens piétiner les plates bandes (je chausse
du 11).
Je m'escuse auprès de cette personne, sans les documents j'ignorais
l'ampleur de la tache, je comprend mieux maintenant son surmenage (après
une visite des archives de l'agence de l'eau).
Je n'ai pas en effet les données entières du problème:
j'ignore dans "mon étude" les rapport de force, les dessous de tables,
les coûts économique et je risque de dégrader des rapports
diffiçiles, et les rares points d'entente entre demandeurs de concessions
et les exploitants du fleuve, ce qui en fait serais mauvais pour le Rhône...
je ne sais pas, on ne me l'a pas dit, je l'ai vaguement appris par personnes
interposées... Simplement, mes e-mails restaient sans réponse...
Je comprend maintenant! Il est délicat de dire à quelqu'un
de ne pas marcher sur les plates bandes, si ça ne doit pas se savoir
qu'il ya des plates bandes... Il est plus simple en effet de refuser le
contact et ne pas répondre, sans explication, en plus ça
évite de perdre du temps. C'est frustrant de se faire renflouer
par une personne qui partage en fait le même combat: (sauver le rhône)
Plus ettonnant, un centre d'étude en rapport avec les marais
de Chautagne-Lavours, connaissant mon nom ont immédiatement
"préféré que je ne vienne pas (avec les étudiants)"
Pourquoi? je ne les avais contacté qu'une seule fois! Il y a un
lien, je suppose, ainsi quand on parle de moi, les portes se referment?!
La personne qui prenait le rendez vous avait sans doute eu vent du
bruit qui court sur moi du genre ("houlà! attention, lui c'est un
chiant") je suppose...
Ceci m'a fortement consterné dans un premier temps, car ces personnes
qui me rejettent militent et travaillent pour la même cause que moi,
je croyais au contraire avoir un soutien de leur part et même des
remerciements!
Que j'était naïf!!!
Il est vrai peut être que j'ai été lourd en insistant
pour obtenir certains rensignements (j'ai tenu à connaitre les débits
mesurés à lavours et à savière afin d'établir
des relation débits-niveau...)
Une différence profonde existe entre les personnes qui ont "droit"
à de telles renseignements (étudiants, groupes de travails,
associations) et moi.
En effet, c'était à comprendre, un particulier n'a pas
à déranger ainsi pour le compte de sa curiosité personelle
les gens qui travaillent. Vous immaginez le bordel si tous les particuliers
faisaient comme moi. Les particuliers doivent se contenter des fascicules
"pour bidochons crédules et hébahis" que l'on distribue lors
des campagnes d'informations, un point c'est tout... C'est pas indiqué
sur des pancartes, mais tacitement c'est comme cela.
Mon étude, je la fais gratuitement en autodidacte mais
avec liberté totale (je n'ai de compte à rendre à
personne et je ne risque pas d'être compromis), alors que d'autres
ont des enjeux, peut être plus importants et dépendent des
organismes qui LES PAYENT officiellement dans un cadre précis pour
faire les études de ce même milieu... Et en plus, je balance
ça sur internet.
D'autre part, les données que j'accumulent ne sont pas utilisables,
elles font appel à une méthode non standard... (on m'a dit
que "l'on" avais dit que moi je... gna gna gna et patati et patata)
Officiellement: tout ce que je fais ne sert donc absolument à
rien.
Ou, on y arrive, un organisme offiçiel pourrait être accusé
de se servir de mes données si il était connu que il "collabore"
avec moi... Ce ferait pas sérieux: il FAUT M'ÉVITER je porte
la poisse.
On peut aussi immaginer que "s'allier" avec moi, c'est se faire ennemis
chez les exploitants du fleuve, Or, on peut encore moins demander des concessions
à un ennemi qu'à un partenaire (relatif).
Bref: que de suppositions... La vérité est que j'en sais
foutre pas grand chose de tout ce qui se passe dans le mic mac... espérons
que le fleuve s'en sorte pas trop mal.
J'aurais simplement aimé que la personne qui m'a refoulé
m'explique clairement la situation.
Ma démarche reste donc celle d'un particulier, elle reste personnelle et aucun organisme devrait se méler de ça. Donc, j'ai rien à attendre d'eux.
personellement: je rend accessible au public des choses qui lui serait impossible de savoir sans un préacquis de connaissance et de profondes investigations... Mais, ce n'est pas "offiçiel"... Cela dérange certains.
Il est assez surprenant de voir faire par les professionels un travail
similaire au mien mais avec des moyens cependant autre: ce n'est pas moi
qui pourrais demander à EDF de manoeuvrer les vannes pour que je
vois ce qui se passe, moi doit attendre, et sans savoir les vrais valeurs
des variations...
Mon moteur est la motivation personelle et le simple fait que j'aime
le Rhône, alors que la plupart qui travaillent sur ce sujet, ont
un salaire, en dépendent et sont donc payé, pour ça...
Il y'a cependant des petits avantages de mon coté que j'énumère
ici
il se peut encore que je critique certains points lus sur des documents offiçiels, car je reste convaincu que le fait d'être assis dans un kayak me fasse découvrir des détails subtils que l'on ne voit pas, et que l'on soupçonne pas toujours depuis un bureau d'étude... (par exemple j'entend les bruits des galets là où il se déplacent)