en 2016 la turbine en ammont (barrage de Lavours) fait 60 metres
cubes/seconde au lieu de 13, des sondes contrôlent le niveau
(recconaissables avec leur capteur solaire), il y a maintenant assez
d'eau pour que cette portion de fleuve revive, Givaudan ne lâche plus
ses polluants tous les 3 jours, ça sent l'eau du rhône et non plus le
parfum de tabac.
Nous ne sommes plus dans cette situation qui
avait motivé la création de ce site (irrespect des débits réservés et
pollution massive aux herbicides à l'orée des bois).
De nouvelles photos de ce lieu restauré sont visibles.
jn15vsgg8745 zone habité, pas de traitement, présence
d'une haie de mûrier, mais pas de grillons (plus humide, tettigiona
viridissima et ruspolia nitidula.
Les grillons sont au contraire très présents, et mêmes
dominant quand on se promène en tout lieu au delà de 1 km
de ces lieux. On dirait que le traitement a contaminé la chaîne
alimentaire.
METAZACHLORE. ce nom bizarre d'un composant des produits Basf, sauf erreur herbicides de prélevée ou de poste "NIMBUS" qui a tant fait d'émanation durant la "catastrophe écologique" de 2006-2008, pourrait être masquer un fait le produit déjà repéré METACHLORE, autrement dit, de L'ALACHLORE qui en 2000 avait une DJA de 0.0005mg/kg/jour soit 1000 fois plus toxique que le glyphosate. (la technique des firmes commerciales est de changer les noms pour empêcher les recherches en cas de doute de la population)
13 juillet 2009.
le problème de la pollution
de l'usine GIVAUDAN.
La catastrophe écologique de la période 2006-2008.
mi mai 2006 et automne 2006, épandage massif
au garlon sur les digues.
Produit dangereux car relativement inodore. cet
épandage a été fait le 16 mai en pleine floraison
des robiniers, sans avertir la population (liberté de passer sur
la digue). C'est à la suite de ce traitement que les abeilles ont
commencé à décliner, par intoxication ou sinon par
manque de relais estivaux. La richesse en fleurs de toute espèces
de la digue a pris fin à cette date (pas revenu en 2009, il n'y
a que quelques asters et ombélifères). Il se peut que le
miel soit pollué,
mi octobre 2006. un nouveau produit est épandu près de chez moi et je constate une baisse de forme immédiate mais durable qui prendra fin en été 2009, -10% de puissance aérobie et sensibilité exacerbée à tout type de polluant. Il semble que ce soit le metazachlore. depuis cette date jusqu'à l'hiver 2009 j'ai de l'urticaire au niveau des chevilles. Il se peut aussi que le miel ait été pollué par les épandages massifs de GARLON inov sur les digues et dans certaines lônes de l'île Béard (sur le trèfle blanc que butinait les abeilles d'un apiculteur nous fournissant)
toxicité des nouveaux traitements.
Le nombre de plainte d'agriculteurs aurait été
de l'ordre de 1500 dans le département de l'ain, ce qui est à
retenir est que il n'a jamais aussi été élevé,
alors que les anciens traitements de toxicité évidente et
connue ne semblaient pas poser de problèmes. Mais c'est peut être
un effet de prise de conscience écologique ou de déclaration
des maux du au cumul d'intoxication, moi même suis devenu très
fragile du foie et très sensible aux épandage, ne conservant
une santé correcte qu'en suivant un régime alimentaire qui
ne pardonne pas le moindre écart.
période des abeilles et guêpes
folles.
été 2008, phénomène
sans précédent, des piqûre fréquente lors de
ballades en vélo ou même dans la maison, occasionnée
par des abeilles ou guêpes agonisant et attaquant lors de leur chute,
avant de se mettre sur le dos en tournant par terre. Il n'y avait pas que
les insectes piqueurs: mouches, scarabées au autres insectes volants
était devenus particulièrement maladroits en vol, n'évitant
plus les obstacles: ces insectes percutaient la figure en vélo même
en dessous de 20 km/h.
En 2009, il n'y a pas de ces attaques anormales
mais il y a aussi beaucoup moins d'insecte...
Le fait que les produits soient passés
à l'aube, sur la rosée du matin est mortel pour les abeilles
qui récoltent la rosée et meurent alors vers les 11h du matin
(heure locale solaire)
Disparition des grenouilles année
2007-2008, aussi confirmées à St-champs - lac de Barterand
(traitements au métazachlore - Roundup des maïs de 2006 à
2008), même phénomène que au Nord de Massignieu, qui
n'est pas du au drain dans le marais puisque la disparition des grenouilles
avait commencé avant.
Les locaux pensent que c'est aussi la démoustication,
mais ça ne colle pas avec les observations puisque là où
il ne ruisselle pas du jus des traitements agricole, il reste des grenouilles
(étang bleu et vers le pk126.5 vieux rhône), ou encore dans
des jardins privés se trouvant au dessus du passage des produits.
Disparition des papillons.
Il y aurait eu un traitement anti chenilles massif
dans la commune de Rocheford l'été 2007.
le nombre maximal de papillons observé
en vol les jours sans vent et en plein soleil dans les foins au moment
de la floraison était de 3 à 5 par hectares, pour estimer
ce nombre il suffit de cumuler 500m de marche dans les foin sans repasser
au même endroit et de compter les papillons visibles sur 20m de large
environ, sauf parfois une concentration de petits papillons de la même
espèces dans les jardins autour d'un massif de fleurs. Il semble
que la concentration de papillons est de l'ordre de 1% du normal: il serait
en effet normal de voir un papillon en vol tous les 3 mètres, et
même plus. En moyenne montagne et hors zones polluées, il
y a a même plus d'un en vol par mètre carré, soit plus
de 10000 par hectare, et mes souvenirs d'enfance ne font pas de différences
sensibles entre ces zones montagneuses et chez moi: du moment que l'herbe
était haute et qu'il y avait des fleurs, il y avait presque autant
de papillons que de fleurs, et compter était impossible. Il était
également impossible de compter les sauterelles, car il en sautait
plus de 5 à chaque pas, donc bien plus qu'une par mètre carré.
Les papillons se concentrent sur les zones frontières
et sont donc concernés par les traitements affectant les talus et
les fossés, ou encore les clôtures.
Les sauterelles "tettigionna viridissima" sont
rares, elles ne dominent plus l'ambiance sonore comme les années
auparavant. les ruspolia (celles qui saturent les micros lors d'enregistrements
sonores) semblent moins avoir souffert.
Le saut de petit criquets et sauterelles est
de l'ordre de 1 tout les 3 pas (comparé à plus de 5 par pas
cela équivaut à moins de 5%)
Pas encore d'info sur les decticelles cendrées
(ce n'est pas encore la période de chant).
decticelles cendrées: il y a eu également
très peu de champs vers chez moi. Le bois a été entouré
d'un traitement anti ronçes sur les 3 quarts de son périmètre
(talus nord et est seulements épargés).
Nemobius: d'habitude très actif en octobre
novembre, semble moins présent, voir non audible aux endroits où
son chant dominait (pendant des redous les après midi de début
d'hiver), il a par contre une activité normale dans les zones non
agricoles.
C'est la destruction des lisières à
la lance à herbicide qui a détruit l'habitat des tettigionna,
les ruspolia, nemobius, qui se contentent de lisières herbeuses
ou de petite clairières. Ces insectes sont typiquement concentré
sur les zones frontières (passage de bois à près,
fossés), qui sont la cibles des traitements.
Les grenouilles n'ont peut être relativement
disparu que par ce qu'elles n'avaient plus assez à manger.
17 novembre 2008 .Les nouvelles
du site
les nouvelles du vestige du rhône.
Les projets: la bioacoustique
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