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2016: ajout au fur et à mesure de la lecture d'observation comparative (marqué par cette couleur de police un peu plus grande).

en 2016 la turbine en ammont (barrage de Lavours) fait 60 metres cubes/seconde au lieu de 13, des sondes contrôlent le niveau (recconaissables avec leur capteur solaire), il y a maintenant assez d'eau pour que cette portion de fleuve revive, Givaudan ne lâche plus ses polluants tous les 3 jours, ça sent l'eau du rhône et non plus le parfum de tabac.

 Nous ne sommes plus dans cette situation qui avait motivé la création de ce site (irrespect des débits réservés et pollution massive aux herbicides à l'orée des bois).
De nouvelles photos de ce lieu restauré sont visibles.


été 2009.
Disparition locale (au niveau du pk 126 dans "l'arrière pays aindien") et sans précédent de l'oecanthus pellucens entre jn25vsgg2448 à jn25vshj1565 et à l'est de cette ligne, AUCUN GRILLON parcelles traitées au glyphosate 20090805 et quelques jours après ,sur ancien champs de seigle, il y repoussait du colza, du chénopode blanc et de l'amarante.
Ce produit est pratiquement inodore, ça fait moins de nuisance, mais il semble avoir fait des dégâts: les insectes sont affectés au delà de la zone traitée et les oiseaux ont probablement consommé les mures au moment du passage sur roncier.
été 2013-2014-2015: l'oecanthus pellucens n'a pratiquement pas été entendu en août.
été 2013-2015: il n'y a pas eu les comportements agressifs d'abeilles et guêpes folles (responsables présumé avant cette période d'amélioration les traitements des vignes de Savoie)

JN15VSHI2355  lisières de bois qui ont reçu en guise de débroussaillant les fond de cuve du traitement de débuts août, aussi dans les orties du champs. Aucun grillon oecanthus.

à noter que en JN15VSHI2355 une haie de mûrier a été traitée (déjà brûlée par le produit le 21 août alors même qu'elle avait pleins de fruits (donc le produit a été consommé par tous les frugivores de passage)

jn15vsgg8745 zone habité, pas de traitement, présence d'une haie de mûrier, mais pas de grillons (plus humide, tettigiona viridissima et ruspolia nitidula.
Les grillons sont au contraire très présents, et mêmes dominant quand on se promène en tout lieu au delà de 1 km de ces lieux. On dirait que le traitement a contaminé la chaîne alimentaire.

METAZACHLORE. ce nom bizarre d'un composant des produits Basf, sauf erreur herbicides de prélevée ou de poste "NIMBUS" qui a tant fait d'émanation durant la "catastrophe écologique" de 2006-2008, pourrait être masquer un fait le produit déjà repéré METACHLORE, autrement dit, de L'ALACHLORE qui en 2000 avait une DJA de 0.0005mg/kg/jour soit 1000 fois plus toxique que le glyphosate. (la technique des firmes commerciales est de changer les noms pour empêcher les recherches en cas de doute de la population)


13 juillet 2009.
le problème de la pollution de l'usine GIVAUDAN.

La catastrophe écologique de la période 2006-2008.

mi mai 2006 et automne 2006, épandage massif au garlon sur les digues.
Produit dangereux car relativement inodore. cet épandage a été fait le 16 mai en pleine floraison des robiniers, sans avertir la population (liberté de passer sur la digue). C'est à la suite de ce traitement que les abeilles ont commencé à décliner, par intoxication ou sinon par manque de relais estivaux. La richesse en fleurs de toute espèces de la digue a pris fin à cette date (pas revenu en 2009, il n'y a que quelques asters et ombélifères). Il se peut que le miel soit pollué,

mi octobre 2006. un nouveau produit est épandu près de chez moi et je constate une baisse de forme immédiate mais durable qui prendra fin en été 2009, -10% de puissance aérobie et sensibilité exacerbée à tout type de polluant. Il semble que ce soit le metazachlore.  depuis cette date jusqu'à l'hiver 2009 j'ai de l'urticaire au niveau des chevilles. Il se peut aussi que le miel ait été pollué par les épandages massifs de GARLON inov sur les digues et dans certaines lônes de l'île Béard (sur le trèfle blanc que butinait les abeilles d'un apiculteur nous fournissant)

toxicité des nouveaux traitements.
Le nombre de plainte d'agriculteurs aurait été de l'ordre de 1500 dans le département de l'ain, ce qui est à retenir est que il n'a jamais aussi été élevé, alors que les anciens traitements de toxicité évidente et connue ne semblaient pas poser de problèmes. Mais c'est peut être un effet de prise de conscience écologique ou de déclaration des maux du au cumul d'intoxication, moi même suis devenu très fragile du foie et très sensible aux épandage, ne conservant une santé correcte qu'en suivant un régime alimentaire qui ne pardonne pas le moindre écart.

période des abeilles et guêpes folles.
été 2008, phénomène sans précédent, des piqûre fréquente lors de ballades en vélo ou même dans la maison, occasionnée par des abeilles ou guêpes agonisant et attaquant lors de leur chute, avant de se mettre sur le dos en tournant par terre. Il n'y avait pas que les insectes piqueurs: mouches, scarabées au autres insectes volants était devenus particulièrement maladroits en vol, n'évitant plus les obstacles: ces insectes percutaient la figure en vélo même en dessous de 20 km/h.
En 2009, il n'y a pas de ces attaques anormales mais il y a aussi beaucoup moins d'insecte...
Le fait que les produits soient passés à l'aube, sur la rosée du matin est mortel pour les abeilles qui récoltent la rosée et meurent alors vers les 11h du matin (heure locale solaire)

Disparition des grenouilles année 2007-2008, aussi confirmées à St-champs - lac de Barterand (traitements au métazachlore - Roundup des maïs de 2006 à 2008), même phénomène que au Nord de Massignieu, qui n'est pas du au drain dans le marais puisque la disparition des grenouilles avait commencé avant.
Les locaux pensent que c'est aussi la démoustication, mais ça ne colle pas avec les observations puisque là où il ne ruisselle pas du jus des traitements agricole, il reste des grenouilles (étang bleu et vers le pk126.5 vieux rhône), ou encore dans des jardins privés se trouvant au dessus du passage des produits.

Disparition des papillons.
Il y aurait eu un traitement anti chenilles massif dans la commune de Rocheford l'été 2007.
le nombre maximal de papillons observé en vol les jours sans vent et en plein soleil dans les foins au moment de la floraison était de 3 à 5 par hectares, pour estimer ce nombre il suffit de cumuler 500m de marche dans les foin sans repasser au même endroit et de compter les papillons visibles sur 20m de large environ, sauf parfois une concentration de petits papillons de la même espèces dans les jardins autour d'un massif de fleurs. Il semble que la concentration de papillons est de l'ordre de 1% du normal: il serait en effet normal de voir un papillon en vol tous les 3 mètres, et même plus. En moyenne montagne et hors zones polluées, il y a a même plus d'un en vol par mètre carré, soit plus de 10000 par hectare, et mes souvenirs d'enfance ne font pas de différences sensibles entre ces zones montagneuses et chez moi: du moment que l'herbe était haute et qu'il y avait des fleurs, il y avait presque autant de papillons que de fleurs, et compter était impossible. Il était également impossible de compter les sauterelles, car il en sautait plus de 5 à chaque pas, donc bien plus qu'une par mètre carré.
Les papillons se concentrent sur les zones frontières et sont donc concernés par les traitements affectant les talus et les fossés, ou encore les clôtures.
Les sauterelles "tettigionna viridissima" sont rares, elles ne dominent plus l'ambiance sonore comme les années auparavant. les ruspolia (celles qui saturent les micros lors d'enregistrements sonores) semblent moins avoir souffert.
Le saut de petit criquets et sauterelles est de l'ordre de 1 tout les 3 pas (comparé à plus de 5 par pas cela équivaut à moins de 5%)
Pas encore d'info sur les decticelles cendrées (ce n'est pas encore la période de chant).
decticelles cendrées: il y a eu également très peu de champs vers chez moi. Le bois a été entouré d'un traitement anti ronçes sur les 3 quarts de son périmètre (talus nord et est seulements épargés).
Nemobius: d'habitude très actif en octobre novembre, semble moins présent, voir non audible aux endroits où son chant dominait (pendant des redous les après midi de début d'hiver), il a par contre une activité normale dans les zones non agricoles.
C'est la destruction des lisières à la lance à herbicide qui a détruit l'habitat des tettigionna, les ruspolia, nemobius, qui se contentent de lisières herbeuses ou de petite clairières. Ces insectes sont typiquement concentré sur les zones frontières (passage de bois à près, fossés), qui sont la cibles des traitements.

Les grenouilles n'ont peut être relativement disparu que par ce qu'elles n'avaient plus assez à manger.
 

17 novembre 2008 .Les nouvelles du site
les nouvelles du vestige du rhône.

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