Nouvel appareil photo: c'est un numérique nikon D-70 obtenu d'ocasion
(affaire rare) Enfin ne plus passer 20 minute par diapositives, vu le nombre
de photos voyez le temps que j'ai passé à enrichir ce site.
Un appareil photo non réflex n'aurait pas convenu pour tirer du
paysage, en raison de la trop petite surface du capteur, fut t'il de 8
méga pixels. en revanche un réflex numérique a une
surface de capteur 4 fois plus grande au moins.
Il importe aussi de pouvoir avoir plus de dynamique, une balance des
blancs toujours la même, ceci dans un but de comparaison de la couleur
des paysages.
Innatendu. cet appareil permet aussi de prendre en photo des
diapositives projetées: le résultat est finalement meilleur
qu'au scanner: une photo de 6 mega pixel, en pratique 2 moins nette qu'au
scanner à diapositive mais par contre avec les nuances (mon scanner
à diapositives bouche les noirs et crame les blancs), suffisante
pour internet (1600 par 1200 pixels).
la grande différence entre les appareils qui coutent les yeux
de la tête et les autres qui ne coûtent (comme la barque)
que la peau du Q, n'est pas que le nombre de pixel (6MP contre 8 par exemple),
mais la taille du capteur est environ 4 cm2 : dans les réflexes
numériques les capteurs sont plus gros, plus sensibles individuellement
et occupent une plus grande surface. dans les 8Mp "bridges" sur un carré
de moins de 0.7cm carré l'image projetée est si petite
que ça foirre un peu pour une raison due à la dualité
onde/corpuscule
- il n'y pas toujours assez de photons pour avoir une nuance d'intensité
"bruit de grenaille" dans l'image (oui: écoutez bien ces images,
ça fait "grrrr"?!, le bruit? définition: bruit: variation
aléatoire dans le signal qui est pas seulement sonore en physique,
mais de toute nature: bruit vidéo, bruit "image", bruit "dans les
statistique" bruit quantique. Le vide primordial est bruyant (fluctuations
quantiques) et si on existe c'est peut être grace... au bruit! Notre
univers est une "tache", un "grain" dans le fond de l'image du Grand Univers...
qui est vide et lisse (vu de loin). Bon...
- la longeur d'onde de ces photons est loin d'être négligeable
vis à vis de la taille du capteurs: c'est comme si un point élémentaire
de l'image, au lieu de taper toujours dans le même capteur allait
un coup, au hasard de la mécanique quantique, allait taper un peu
dans les capteurs d'à coté: le point le plus petit possible
s'étale alors toujours un peu sur 3 ou 4 pixels: les points qui
reçoivent des informations voisines bavent les uns sur les autres.
immaginez un poster imprimé très fin réduit sur un
quart de timbre poste, vous en regardez la copie au microscope. pour voir
la trame d'impression vous ne pourriez pas à cause du fait que la
longeur d'onde de la lumière est trop petite, vous devrez la regarder
dans l'ultraviolet. C'est ça qui fixe la limite au nombre de pixels
sur un petit capteur. Il faut pour avoir des résultats corrects
qu'un capteur soit 20 grand que la longueur d'onde du rouge, donc
dans les 8 microns, soit 24 par16 milimètres, ce qui fait justement
3000 par 2000 pixels (6 méga pixels). La limite physique d'une photo
très fine dans un réflex serait à la rigueur 2 fois
plus donc 12 méga pixels, mais sur un capteur "bridge" on ne gagne
plus en piqué au dessus de 5 mega pixels, on ne gagne qu'en lissé
sur les surfaces style joue de votre copine.
Si un jour apparaissent des appareils photos de 10 méga pixels,
sans doute le capteur aura la taille 24 fois 36 (8.5 cm2) ou même,
pour espérer 40 méga pixels 60X60 36 cm2
Restituer une diapositive 24 36 correctement équivaut
à scanner en 8 ou 10 méga pixels.
PHOTOS à vendre?
Je proposerais si possible un service "photos" pour rembourser un peu
cet appareil. Les modalités sont à étudier, c'est
en cours d'idée. Je calculerais mon tarrif en fonction du temps
passé in situ mais pas en fonction du nombre de photos: un appareil
numérique permettant d'en tirer autant que la mémoire en
contient 70 en haute définition (voir plus avec ordinateur portable
permettant en outre de les visualiser avec je précise un écran
de 1200 par 1600 pixel). Le produit vendu sera un CD avec les photos du
sujet que vous avez eu envie de voir photographié sous toutes ces
coutures, qu'il sera possible de porter au photographe pour les faire tirer
sur imprimante laser.
Surtout pas:
mettre dans l'ordinateur les logiçiels fournis avec l'appareil (picture projet ou nikon photoshare. ils font chier (version d'essai, pilotes qui merdent, logiçiel de visulisation rappatriement mal foutu et lent. simplement connecter l'appareil photi et fouiller avec l'explorateur dans la carte mémoire. sous linux simplement monter ça comme un disque dur SCSI. Ainsi l'appareil photo sert de disque dur amovible, pouvant par exemple, outre des photos transporter copie de documents PDF ou de sites internet pour y refiler à un autre ordinateur, sans s'emmerder à graver un CD!!!
comment indexer les photos?
Photos à pieds.
pour respecter le codage cartographique, le plus pratique est de régler
mon appareil en date et heure GMT, l'heure du GPS. si je part en ballade
à pieds, j'allume le GPS, fixé sur l'épaule, il enregistre
systématiquement toutes les 10 secondes environ ma position, ce
qui par ailleurs aura l'intérêt de fournir des traçés
de sentiers non connus à plaquer sur des cartes. ensuite je recherche
le point du traçé qui est à la date et heure de la
photo, et je renomne les photos correspondantes en code QRA (exemple 20041102_1559_jn25vsfo1092.jpg
).
Sur l'eau seulement (autre GPS) j'enregistre un wav point là où j'ai fait la photo, c'est fait juste en poussant un bouton, si le nombre de photo est peu important, je retrouve le code à la calculatrice, sinon je balance la liste des wav points dans une moulinette informatique.
Dans le cas particulier du vieux rhône et du canal je pense rester au système ED50 pour continuer sur les mêmes cartes et faire correspondre avec les observations (logique de recherche par mots clefs depuis l'an 2000).
ailleurs que sur l'eau, j'utiliserais désormais le système WGS84. en pratique la différence est de l'ordre de 50m environ, il me suffira de faire une double grille pour les positionner sur la carte. en ce qui concerne l'eau, de prévoit des info annexes, le codage du lieu vue de loin par exemple pour retrouver des photos qui concernent le vieux rhône pourtant prises de loin (d'en haut les montagnes).
Je vais probablement changer de cartes: il me suffit de copier coller
le fond d'écran de cartonav ou apparait le fleuve matérialisé
mar mes innombrables passages avec le GPS. avec le temps, les modifications
du cours d'eau vont se voir à travers le déplacement des
traçés: déplacement des gravières, changement
de sinuosité...
si les américains rentrent en guerre je me servirait, comme
avant d'une carte quadrillée pour nomner les photos.
Réglage
Le réglage qui semble le plus convenir pour restituer les couleurs
dans le même ton et le même contraste que la réalité,
sur un écran qui a fait ses preuve, un LCD haute résolution
est
optimisation image, personalisé, mode 2 couleur +
Balance des blancs 6000K
Les réglage mode 1 et 3 (sRVB) accentuent trop les bleus et les
rouges, si on photographie la végétation, on croirait que
celle ci a eu plus d'engrais, par temps gris les lointains se bleutent.
seul le mode 2 (couleurs RVB adobe) restituent la couleur normale de la
végétation. les mode 1 et 3 sont plus saturé
en "normal" que le mode 2 en "plus saturé". Pour imprimer, comme
l'impression perds souvent les bleux et les rouges, il faudrait prendre
mode 3.