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carte à liens multiple
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jn25vsii:ici, l'eau baisse régulièrement. voir observations cumulées


17/09/2000
18/09/2000 environ 350m3/s

21/09/2000

15/10/2000

16/10/2000








L'embarcadère: ici je met mon kayak à l'eau: La photo de gauche: là ou je trouvait l'eau avant le barrage, il y avait une lône parrallèle à celle que vous voyez sur la photo de droite, jusqu'en 1998-1999 un vestige obligeait à patauger dans l'eau, présentant une mare peu profond à traverser, cette mare s'est assèchée au niveau du sentier cette année.
 Les photos de droite: après avoir descendu  puis remonté en face, dans un sentier creusé dans le lit de la vielle lône en phase de transition vers une forêt banale.
Ici, il semble que l'eau baisse de 10 cm par an: depuis 1992 le niveau est à peu près 1 à 1m50 plus bas: entre début juillet 2000 et fin septembre 2000 la baisse semble de 10 cm (pour 40 cm au niveau pk127.800 qui semble rester stable: l'eau creuse un passage ailleurs, coté savoie
En 1990-1992: il fallait que je monte dans le kayak pour franchir une petite lône intermédiaire: l'eau arrivait largement aux hanches, cette lône coulait mais n'était pas navigable, devenant un ruisseau coulant au milieu de ronces.  Désagréable: bords bordés d'orties. Il faut pour cela une pagaïe-sabre, avec une lame d'acier moulée dans l'épaisseur de la résine, bien tranchante dépassant un peu des cotés, chose à concevoir.
En 1995-1997: il y avait une mare à passer avec de l'eau jusqu'au genoux, avec plein de grenouilles, des pneux et des planches à moitiés submergés servaient de gué, ce qui évitait d'embarquer juste pour traverser.  Les orties sont remplacés par l'impatience glandulifera: provisoirement c'est mieux!
En 1999 printemps: la mare au grenouilles est envahi d'herbes et de roseaux pour la première fois tel qu'on peut y aller à pied., sans se mouiller, seul subsiste une fange de boue bien collante, à pietiner pour la franchir: La lône intermédiaire s'est creusé, elles est maintenant traversé par un ruisseau, et il suffit de ne pas marcher dans ce ruisseau pour avoir les pieds au sec.
En 2000:  le sentier progresse sur 50 metres sur de la terre bien dure, même au milieu, sans grenouilles, descend au fond du lit de la lône remonte et arrive au lieu de la photo de droite: la progression se fait dans un tunnel de roseaux et de ronces plus haut que ma personne. Le massif  de fleur impatience glandulifera est temporaire car ce n'est juste qu'une plante pionère qui cédera sa place aux ronces dans les années à venir.
300 metres cubes d'eau: tous juste suffisant à recréer une petite mare à pateauger jusqu'au milieu du molet en  traversant cette lône asséchées (observation du 19/09/2000).
Logiquement, la photo 
retirée dans 2 ou 3 ans ne montrera plus des fleurs violettes, mais un moncis inextricable de ronces et d'arbustes: ainsi disparaït la lône

pour écouter les prises de sons faites ici même

http:// f5rhs.free.fr/sons/20000504.htm
http:// f5rhs.free.fr/sons/20000523.htm

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