La partie représenté est le premier rapide en aval du seuil de fournier: les flèches représentent le courant principal: J'entend rouler les galets dans la zone entourée en fushia: ainsi le fond se creuse, de l'érosion régressive peut apparaitre immédiatement en amont. Avec 60 mètres cubes le courant était de 10.5 km/h je tacherait de refaire la mesure (en dérivant avec un GPS) pour 30 mètres cubes

Où vont aller les galets? S'entasser contre la digue de l'île Fournier et l'étanchéifier encore plus?: celle-ci en effet était (volontairement?) perméable pour laisser toujours passer de l'eau dans la lône Béard (lône de Charbonod) qui n'a déjà actuellement  comme ressource presque uniquement l'eau du séran. Les observations du 18/09/2000 m'ont permi de constater qu'il fallait 150 metres cubes par seconde pour que autant d'eau passe à la lône Béard que il y a 3 ans pour 60 metres cubes, (à peu près, pour que je puisse passer aux même endrois en kayak): ce phénomène était lié peut être au dépot de cette gravière encore en croissance, contre la digue d'une part, à l'abaissement de l'eau par rapport à la digue d'autre part.
 

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novembre 2000: cette zone n'émet plus aucun bruit de cailloux roulés vitesse toujours 10.5-11 km/heure. Remontable seulement avec le kayak en carbone de 5m10

Page revue le 13 février 2000.
Les variations importantes de débit on élargie la veine d'eau qui présentait rive droite des berges à flanc raides (chenalisation) La gravière a retrouvé un aspect normal avec une forte pente de l'eau lors des étiage, un courant moins rapide. (9km/h)
L'observation de cette gravière souligne le coté néfaste des débits calibrés (printemps, été 2000)