- "Écolo", ce terme a lui seul inspire dans l'inconscient collectif: la politique, les idées utopiques et moraliste, l'iréalisable, l'irationel, le non viable, bref, on pourrait en écrire des lignes, mais il est est un fait que l'on ne peut nier: le terme "écolo" est désormais qu'on le veuille ou non bel et bien empreint de négatif, est bel est bien à connotation péjorative...
Cette notion péjorative est telle que le simple fait que le mot "écologie" soit visible dans l'adresse internet qui donne accès à ce document, que d'or et déjà je craigne que un pourcentage non négligeable d'internaute venus là par hasard n'aient même pas cliqué sur le lien.
à cause de cela même, le texte a du être mis sous une autre adresse!

écolo: écologie sont des mots qui entraîne le rejet systématique: chez qui? ceux qui justement auraient bien besoin d'avoir une vision différente du monde, une vision qui permettrait sa gestion à long terme...

Plus grave:Être étiquetté écolo, d'emblée vous enlève votre crédibilité "Hô, vous savez lui. c'est un écolo, alors ce qu'il peut dire..."

Un individu, une asscociation, une fois catalogué "écolo" tient des propos nécéssairement "écolo" donc de ce fait invalidés: tout ce qu'il peut affirmer est donc rejeté, d'office, sans même examination. Vérifiez: c'est effectivement un fait que on ne peut que constater dans nos campagnes, un fait qui se constate à caque commité, chaque réunion, chaque débat...
Voilà le résultat dont peuvent s'arguer les écolos: en agissant par négativisme, ils ont recu, en retour l'érection d'une barricade culturelle profondément implantée dans l'inconscient collectif des gérants de la terre. De ce fait, leurs discours leurs actions sont ponctuelles, sinon innéficaces, et ne s'inscrivent presque  jamais dans le cadre d'un consciencus favorable.
Entre eux, les écolos se montent la tête entre convaincus mais ne rayonnent pas leur idées aux autres, ceux qui feraient, par leur agissement changer les choses: les économistesn les politiques, les rureaux, les élus locaux...

et pendant ce temps notre planète continue à être détruite
 

- Les conséquences: tout nouveau projet de Natura 2000, toute revendication de la FRAPNA, toute idée émise par une organisation écologique ou avouée écologique est en général rejetée à l'unanimité dans les campagnes (campagnes bouseuses et non campagnes politiques!!!). De ce fait, l'action des écologistes n'a pas aboutit à une amélioration, mais peut être même à une dégradation en perdant une grande partie du consciensus là ou justement il est nécessaire. C'est ainsi que la France est à la traîne sur le plan écologique, et accumule toutes les abbérations. C'est ainsi que notre population est devenue à la campagne profondément anti-écolo!!!

En me penchant avec méditation et en nourissant d'expirémentation personelle, il  apparaît que le discours
écologique est bien en cause: moi même en fait les frais en étant catalogué d'écolo. Il y a eu de plus incompatibilité d'ordre culturel

Nous pouvons constater que:
Les "spécialistes" ont pris de haut les habitants:
 immaginez: vous êtes les gens de la terre, qui ont vécus depuis des générations dans un pays, pays que vous habitez, vivez, entretenez, vous y avez vos raçines, vos terres, vos ancètres y ont vécu: tout à coup viennent des inconnus (des gars de "paris") qui au lieu de s'intéresser à vous et ensuite vous enseigner ce qu'ils savent, en écoutant d'abord votre expérience et vos besoins non seulement ne vous écoutent pas, mais tout de suite vous mettent le nez dans votre caca, sans vous demander si vous pouvez faire autrement "vous paysans, vous POLLUEZ", vous donnent des ordres:"vous faite mal ceci, vous n'aurez plus le droit de faire ceci, cela, là c'est une réserve, interdit de y aller, d'y chasser"... etc, et qui accordent plus d'importance à certaines choses parfois inconnue de la population (par exemple la conservation de ptéronemobius hydenni) qu'aux simples urgences locales. Même si dans le fond c'est vrai, il serait plus judicieux de d'abord faire comprendre l'importance de certains équilibres naturels AVANT d'engager des discours moralistes et des interdictions contre le consciencus.

 Ce n'est pas tout, après des contacts n'ayant qu'envenimé les relations entre population et "scientifiques": suivent comme pour consolider cette barricade culturelle des rapports chiffrés; compréhensible seulements de ceux qui ont une formation de biologiste, d'hydrologue, de scientifiques "d'hautes écoles", diverses études dont la substance est inaccessible à la compréhension des gens simples ou alors parfois traduite dans un style malheureux que l'on peut qualififier de "scolaire" voir "débilisé" perdant par là leur pertinence, pouvant de plus  être confondus avec les publications motivés par le profit financier comme celles de l'office du tourisme, ou de certaines sociétés (exemple le document "découvrez le fleuve roi" de la CNR). Comments réagissez vous alors, lorsqu'on l'on vous enlève les responsabilités, que visiblement on vous prenne "pour un con", que discours de diverses origines se contredisent, que suivant l'époque on vous ballote d'un sytème à l'autre, et qu'en plus, que l'on argumente le pourquoi d'une telle attitude dans un language "scientifique" que vous ne comprenez pas, tantôt discours économique productiviste, tantôt discours politique, tantôt écolo..., et qui plus est, que tout "cela" vienne de gens extérieur à votre pays: les "monchus", les "parisiens", les "citadins" qui ont beau lieu de venir s'occuper de "nos affaires" lorsqu'ils sortent de leur bureaux.

Vous rejetez tout ça en bloc
Vous estimez que vous avez raisons et eux tord
Vous ne vous laissez pas faire
Vous durcissez vos positions et défendez vos libertés.

Le rejet des actions et idée écologique est donc bien humain et très comprehensible.
Les associations écologique  on à mon avis fait dans ma région autant de mal que de bien: elles agissent en effet par des séries de procès contre les bettoneurs, les investisseurs, ceux qui dégradent de proche en proche des milieu naturels: elle agissent en fait point par point: rien a dire la dessus, ce sont des actes qui sont préférables à l'inaction. Mais en y regardant de plus loin: ces actes, hors d'une action plus glabale n'engendrent t'il pas un refus plus général dont la conséquence est à long terme plus grave que le mal combattu. Ce n'est pas en interdisant les gens des portions de leur pays, en y créant des zones interdite d'accès ou seul les "spécialistes" peuvent aller, en agissant par polémiques, par révoltes, par interdictions, qu'on acquièrera l'adhésion de la population responsable des "méfaits" d'ordre écologique: L'écologie oublie trop souvent une chose: le coté humain, ceux qui habitent le milieu à préserver en font bel est bien partie, or on considère un écosystème sans "eux" si "eux sont une menace réelle à cet écosytème: on doit engager un dialogue, tenir compte de leur avis, les ouvrir à la conscience écologique pour que eux puissent vivre chez eux tout en préservant l'environnement de leur propre chef: or ce qui est fait actuellement donne plutôt l'impression que l'on cherche à "les matter" pour les empêcher de détruire l'environnement où ils vivent, en leur enlevant leur pouvoir, leur responsabilités, en les moralisant, bref, en dégradant l'image d'eux mêmes (en plus de leur "intérêts"): croyez vous que une telle attitude puisse être profitable?
C'est bien là l'erreur des écolos...
 Ça ne peut pas tenir, ce n'est pas là la solution!!!
Et pourtant:
 Bien souvent les associations écologiques se battent pour des miettes d'environnement mais détruisent indirectement tout le consciencus global qui aboutirait à la conscience écologique de la population: or c'est cette dernière qu'il faut favoriser pour espérer revoir une gestion de l'environnement non pas obtenu par des interdiction et des procès isolés et de la répression qui ne peuvent tenir que ponctuellement, mais par une gestion globale et avec le consentement de tous de notre environnement...